For our Francophone audience, Le Monde has today run a series of articles about France's covert engagement in Libya. In these articles the primary theme is that what has happened so far is merely a precursor and preparation for what is to come.
La ligne fixée par le président François Hollande repose pour l’heure sur des actions militaires non officielles. Elles s’appuient sur des forces spéciales – leur présence, dont Le Monde a eu connaissance, a été repérée dans l’est de la Libye depuis mi-février par des blogueurs spécialisés. Ce n’est pas tout. Plusieurs sources ont indiqué au Monde que la lutte contre les terroristes pouvait couvrir des opérations clandestines, menées par le service action de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Les premières engagent la France car leurs soldats, même très discrets, agissent sous l’uniforme. Les secondes sont aussi assurées par des militaires mais restent invisibles.Forces spéciales et clandestines sont considérées dans la doctrine militaire comme des « précurseurs », des outils classiques en l’absence de cadre disponible pour une guerre ouverte. Ces moyens, dits « d’ouverture de théâtre », ne préjugent toutefois pas d’une future opération en bonne et due forme.Read the whole article here.